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Sciences et Fictions | Rudyard Kipling et l'enchantement de la technique

Introduction à l’édition 2008

“Après Robert Heinlein en 2007, c’est un géant de la littérature mondiale qu’ont convoqué, pour leur deuxième édition, les Journées interdisciplinaires Sciences & Fictions de Peyresq : Rudyard Kipling. Si le choix de Heinlein pouvait paraître naturel à tout amateur de science-fiction, celui de l’auteur du Livre de la jungle peut sembler plus déroutant de prime abord: on se souvient du Kipling journaliste, poète, romancier engagé, chantre de l’Empire britannique; beaucoup moins, sans doute, de ses textes centrés sur des objets techniques. Les auteurs de science-fiction, pourtant, toutes générations confondues, s’en inspirent ouvertement, Robert A. H...”

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Sciences et Fictions | Rudyard Kipling et l'enchantement de la technique | Session 1

De la probité des raconteurs d'histoires

“L’incipit de «Dans la maison de Suddhoo», première nouvelle du recueil Rudyard Kipling: Collected Stories, édité par Robert Gottlieb1, et l’une des toutes premières écrites par Kipling, est un long paragraphe dans lequel un narrateur présente, à la première personne, les habitants de cette maison. Il s’agit d’un narrateur omniscient (« I daresay this prophecy will come true ») qui, occasionnellement, s’adresse directement au lecteur (« You may recognize it (…)»). Ce type d’intervention sur le récit plonge le lecteur dans une atmosphère de conte, tout en la rendant la plus vivante possible, et bien que le narrateur prenne soi...”

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Sciences et Fictions | Rudyard Kipling et l'enchantement de la technique | Session 6

Désir de science

“Comment créer un désir de science chez les jeunes? La question demande de définir au préalable les causes du désintérêt pour les sciences. Si celles-ci sont clairement identifiées, il sera plus facile de chercher des solutions. Diverses lectures et des recherches sur Internet m’ont permis de rapporter de quoi faire un rapide tour de la question. Sophie Ernst, formatrice de maîtres, dans un intéressant exposé, se demande : « pourquoi le désir de science qui a porté les siècles précédents semble-t-il nous avoir déserté, au moment où nous aurions de quoi le nourrir et le canaliser efficacement, dans l’idéal d’un vrai partage ? » Certes, l’image de la scienc...”

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