La pratique de la supervision en tant que dispositif

Frédéric Vinot

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Titre alternatif :
La pratique de la supervision en tant que dispositif: Le pulsionnel et le transfert
Résumé :
National audience
L’auteur propose une distinction entre « pensée du cadre » (renvoyant à une approche contenante) et un « effet-dispositif » (qui relève de la coupure). Cette coupure, en tant que référée à l’articulation continu/discontinu propre au pulsionnel, trouve ses effets dans le transfert dans la coupure entre agalma et objet a. Le travail de supervision appelé « analyse des pratiques » n’est donc pas de trouver des solutions à la place des intervenants ou de passer une situation à la moulinette de la théorie, mais de relancer la dimension phallique, c’est-à-dire de coupure, là où les intervenants témoignent être au plus près des effets de sidération propres à l’agalma. Ce type d’effet clinique relève précisément de ce qui s’appelle un dispositif.
Date de publication : 2011-06
Type de document : Article dans une revue
Affiliation : Laboratoire Interdisciplinaire Récits, Cultures et Sociétés (LIRCES) ; Université Nice Sophia Antipolis (... - 2019) (UNS) ; COMUE Université Côte d'Azur (2015-2019) (COMUE UCA)-COMUE Université Côte d'Azur (2015-2019) (COMUE UCA)-Université Côte d'Azur (UCA)

Citer ce document

Frédéric Vinot, « La pratique de la supervision en tant que dispositif », Oxymoron, 2011-06. URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-03650446