Loxias | Loxias 6 (sept. 2004) Poésie contemporaine: la revue Nu(e) invite pour son 10e anniversaire Bancquart, Meffre, Ritman, Sacré, Vargaftig, Verdier... |  Autour des poètes 

Bio-bibliographie de James Sacré

(photo de J. Sacré par J.-M. Rivello)

Résumé

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Texte intégral

James Sacré est né en 1939. Il passe son enfance et son adolescence à la ferme des parents en Vendée. D’abord instituteur puis instituteur itinérant agricole, il part, en 1965, vivre aux Etats-Unis où il poursuit des études de lettres (thèse sur la poésie de la fin du XVIe siècle français). Il y enseigne dans une université du Massachusetts (Smith College) tout en faisant de nombreux séjours en France et des voyages en Europe (l'Italie surtout) en Tunisie et au Maroc. Il a publié des livres de poèmes au  Seuil (Cœur élégie rouge, 1972), chez Gallimard (Figures qui bougent un peu, 1978) et aux éditions André dimanche, ainsi que chez de nombreux « petits éditeurs ». Il vit de nouveau en France, à Montpellier, depuis 2001.

Derniers livres publiés : Une petite fille silencieuse et une réédition de Cœur élégie rouge  (André Dimanche, 2001) ; Ecrire à côté et  Les mots longtemps, qu’est-ce que le poème attend ? (Tarabuste, 2000 et 2004) ; Si peu de terre, tout  et  Monsieur l’évêque avec ou sans mitre (Le dé bleu, 2000 et 2002) ; Mouvementé de mots et de couleurs, avec des photographies de Lorand Gaspar (Le temps qu’il fait, 2003) ; La mémoire de personne, avec une eau-forte de Richard Texier (C. D’hervé, éditeur, 2004) ; Un p’tit garçon, je sais plus, avec six linogravures de Joan Hernandez Pijuan (Paris, Bernard-Gabriel Lafabrie, 2004).

Relation. Bordeaux : N.C.J., 1965.

La femme et le violoncelle. Lamérac : J.C. Valin éditeur, 1966 (avec un dessin de Pierre Bugeant).

« Graminées », Poésie-Ecrire. Paris : Le Seuil, 1968 (collectif) ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004

La transparence du pronom elle. Paris : Chambelland, 1970 (tirage de tête avec des eaux-fortes d’Yvon Vey).

Cœur élégie rouge. Paris : Le Seuil, 1972 ; et Marseille : André Dimanche, 2001.

Comme un poème encore. Liège : Atelier de l'agneau, 1975 (avec des dessins d’Yvon Vey) ; repris dans La poésie, comment dire?

Paysage au fusil (cœur) une fontaine. Paris : Gallimard, Cahier de poésie 2 (collectif), 1976 ; et Tours : La Cécilia, 1991 ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.

Un brabant double avec des voiles. Paris : Nane Stern, 1977 ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.

Un sang maniériste. Etude structurale autour du mot sang dans la poésie lyrique française de la fin du seizième siècle. Neuchâtel : La Baconnière, 1977.

Figures qui bougent un peu. Paris : Gallimard, 1978.

L'amour mine de rien. Paris : Encre/Recherches, 1980 (collectif).

Quelque chose de mal raconté. Marseille : André Dimanche, 1981.

Des pronoms mal transparents. Chaillé-sous-les-Ormeaux : Le dé bleu, 1982.

Rougigogne. Paris : Obsidiane, 1983 (tirage de tête avec un dessin d’Yvon Vey).

Ancrits. Losne : Thierry Bouchard, 1983 (tirage de tête avec des eaux-fortes de Patrice Vermeille).

Ecrire pour t'aimer ; à S.B.. Marseille : André Dimanche, 1984.

Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme). Paris : Le Castor astral et Le Noroît, 1986 (avec des photographies de Bernard Abadie) ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.

La petite herbe des mots. Chaillé-sous-les-Ormeaux : Le dé bleu, 1986 ; repris dans Si peu de terre, tout.

La solitude au restaurant. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1987 (tirage de tête avec des travaux de Thierry-Loïc Boussard) ; repris dans Ecrire à côté.

Une fin d'après-midi à Marrakech. Marseille : André Dimanche, 1988.

Un oiseau dessiné, sans titre. Et des mots. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1988 (avec un dessin de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.

Le taureau, la rose, un poème. Montpellier : Cadex, 1990 (avec des dessins de Denise Guilbert).

Je ne prévois jamais ce que je fais quand je dessine. Paris : Les petits classiques du grand pirate, 1990 (avec des dessins de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.

Comme en disant c'est rien, c'est rien. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1991 (avec des dessins de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.

On regarde un âne. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1992 (avec une photographie d’Abderrazak Benchaabane).

Ecritures courtes. Chaillé-sous-les-Ormeaux : Le dé bleu, 1992.

La poésie, comment dire?. Marseille : André Dimanche, 1993.

Des animaux plus ou moins familiers?. Marseille : André Dimanche, 1993.

Le renard est un mot qui ruse. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1994 (avec un dessin de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.

Ma guenille. Sens : Obsidiane, 1995.

Viens, dit quelqu'un. Marseille : André Dimanche, 1996.

Essais de courts poèmes. Toulouse : Cahiers de l’Atelier, 1996 (avec des dessins de François Mezzapelle).

La nuit vient dans les Yeux. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1997 (avec des dessins de Jillali Echarradi).

La peinture du poème s’en va. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1998.

Anacoluptères. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1998 (avec des illustrations de Pierre-Yves Gervais).

Relation, essai de deuxième ancrit (1962-63 ; 1996). Saint-Denis d’Oléron : Océanes, 1999.

Labrego coma (cinco veces). Saint-Jacques de Compostelle : Noitarenga, 1999 (avec des photographies d’Emilio Arauxo).

Si peu de terre, tout. Chaillé-sous-les-Ormeaux : Le dé bleu, 2000.

L’Amérique un peu. Montréal : Trait-d’union, 2000, 77 pages.

Ecrire à côté. Saint-Benoît-du-Sault : Editions Tarabuste, 2000, 140 pages

Une petite fille silencieuse. Marseille : André Dimanche, 2001

Monsieur l’évêque avec ou sans mitre. Chaillé-sous-les-ormeaux : Le dé bleu, 2002 (avec des illustrations de Edwin Apps).

Mouvementé de mots et de couleurs. Cognac : Le temps qu’il fait, 2003 (avec des photographies de Lorand Gaspar).

Les mots longtemps, qu’est-ce que le poème attend ?. Saint-Benoît-du-Sault : Tarabuste, 2004.

Une bonbonne. Paris : Collectif Génération, 1978 ; repris dans Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme).

Fire. Paris : Collectif Génération, 1981 (avec des photographies de Ian Baxter) ; repris dans La poésie comment dire?.

Déplier replier le poème ; l'abandonner, le ranger. St. Benoît-du-Sault, 1988 (avec des travaux de Thierry-Loïc Boussard) ; repris dans La nuit vient dans les yeux.

Paysan comme (quatre fois). Paris : Collectif Génération, 1989 (avec des peintures de Jane Hammond, Sonia Guerin, et Ronald King) ; repris dans Si peu de terre, tout.

Comme un geste d'écriture. Paris : Bernard-Gabriel Lafabrie, 1991 (avec des lithographies de Lafabrie) ; repris dans Viens dit quelqu’un.

Noces : moments que le bonheur te prendrait par la main ; ou par les mots. Nice : La Mètis, 1992 (avec un dessin de Philippe Favier) ; repris dans Viens dit quelqu’un.

Passage par sept poèmes d'un autre livre. La Madeleine : ed. de, 1993 ; repris dans Viens dit quelqu’un.

Paroles de l'autre. Nice : Epiar-Cnap, 1993 (avec des sérigraphies de Laura Corti) ; repris dans Viens dit quelqu’un.

Une dimension de silence. Liancourt-Saint Pierre : Atelier de papier, 1993 (avec des gravures d'Isabelle Baeckeroot et de Didier Godart).

L'éternité c'est juste à côté. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1994 (avec des travaux de Patrick Mellet) ; repris dans La peinture du poème s’en va.

Haïk de mots pour Essaouira. St. Benoît-du-Sault : Tarabuste, 1994 (avec des lithographies peintes de M. Kacimi) ; repris dans La peinture du poème s’en va.

Si on voit tout sans rien voir ?. Nice : Epiar-Cnap, 1995 (avec des travaux de Sonia Guerin) ; repris dans Ecrire à côté.

Petite note sur le désir d'écrire. Paris : Collectif Génération, 1996 (avec des interventions de Françoise Quardon).

Voyages au centre de la chair. Paris : La Voix du Regard, 1996 (collectif ; peintres et poètes).

Le corps qui maintient. Paris : Editions Maeght, 2001 (avec deux gravures de Jean-luc Parant)

On a traversé des territoires indiens. Montpellier et Saint-Hilaire du Rosier : Editions de livres objets « Le Galet », 2001 (sept poèmes manuscrits avec sept pastels de Thierry Lambert) ; repris dans L’Amérique un peu.

Comme un brouillon continué. L’Ile Rousse et Montpellier, 2002 (poèmes manuscrits avec des peintures de Julius Baltazar) ; repris dans Un paradis de poussières.

Si le corps dit, vraiment ?. L’Ile Rousse et Montpellier, 2002 (poèmes manuscrits avec des peintures de Julius Baltazar) ; repris dans Un paradis de poussières.

Comme un repli du temps dans le jardin diminué. L’Ile Rousse et Montpellier, 2002 (poème manuscrit avec des peintures de Julius Baltazar) ; repris dans Un paradis de poussières.

Caresse d’écriture à des couleurs. Nice et Montpellier, 2002 (poèmes manuscrits avec une gouache, un travail peint et des gravures de Gérard Serée qui a fabriqué le livre).

Comme pour être un jardin. Paris : Robert et Lydie Dutrou éditeurs, « En Puisaye » n° 10, 2002 (avec Cinq lithographies de Jean-Paul Agosti et une gravure originale pour les exemplaires de l’édition de luxe).

Un reste de fruit qu’on a mangé. Gallargues-le-Montueux : A travers, 2003 (3 pages de poèmes pour accompagner une photographie de Jacques Clauzel)

La mémoire de personne. Lyon : C. D’hervé, éditeur, 2004 (avec une eau-forte de Richard Texier)

Un p’tit garçon, je sais plus. Paris : Bernard-Gabriel Lafabrie, 2004 (avec six linogravures de Joan Hernandez Pijuan)

L'obscurité qui nous prend par la main. Paris : Artalect, 1994.

Pour citer cet article

« Bio-bibliographie de James Sacré », paru dans Loxias, Loxias 6 (sept. 2004), mis en ligne le 15 septembre 2004, URL : http://revel.unice.fr/loxias/index.html/lodel/docannexe/file/7601/lodel/index.html?id=72.