Catherine Rossi


Docteur en philosophie, Université de Dijon. Sa thèse Les voies initiatiques chez Panaït Istrati et Harry Martinson/Rêverie, vagabondage, écriture, publiée en 2010 (Lille, ANRT), vient d’être traduite en roumain (publication en 2013). Elle a écrit divers articles comme « L’identité légendaire d’Adrien-Panaït : la filiation haïdouque » (Les haïdoucs dans l’œuvre de Panaït Istrati, L’Harmattan, 2002), « Panaït Istrati : une âme roumaine en langue française » (Francophonie roumaine et intégration européenne, Colloque international de Dijon, 2004, Actes parus en 2006), « Vers l’autre flamme (Istrati, Serge, Souvarine) : À l’heure du bilan dix ans après la Révolution russe » (Le Courrier international de la Francophilie, n° 23, 1er trimestre 2011, Galati) et « Le français comme langue du libre-échange chez Panaït Istrati » (Paris-Bucharest, Bucharest-Paris/Francophone writers from Romania, Rodopi, 2012). Elle est aussi membre du bureau de l’association Les Amis de Panaït Istrati.

Articles de l'auteur


Loxias | Loxias 40. | Panaït Istrati, « l’homme qui n’adhère à rien »

Les périodes suisses chez Panaït Istrati

Les « passages » en Suisse de Panaït Istrati de 1916 à 1930 ouvrent des perspectives qui auront de profondes répercussions sur le cours de sa vie. Le canton de Vaud et du Valais forment un étonnant creuset d’où émerge une combinaison de chemins qui sont autant d’étapes fondatrices. Si les recherches abordent souvent les périodes suisses d’Istrati, elles ne les traitent jamais dans leur intégralité. Il est temps de faire une rapide synthèse de ce que nous connaissons.

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