Odile Gannier


Professeur de littérature comparée

Publications


Loxias

Doctoriales I

Ce numéro de Loxias est ouvert aux doctorants et aux jeunes docteurs rattachés à l'Université de Nice. Ils présentent une partie de leurs travaux en littérature française et comparée. Les thèmes, les périodes, les lieux, sont éclectiques, preuve de la vitalité de leurs études: de l'âge classique aux publications contemporaines, de la France à l'Afrique du Sud, en passant par l'Espagne et l'Amérique, la variété des genres est aussi représentée: théâtre, roman, nouvelle, poésie. Un parcours inspiré de la chronologie permet de se faire une idée de leurs travaux.

Voir le sommaire

Programme d'agrégation 2005

Les programmes d'Agrégation de Lettres pour 2004-2005 suscitent aussi les réflexions et les travaux des membres du CTEL: la littérature comparée, la littérature du Moyen-Age, du XVIIIe, et du XXe sont représentées.

Voir le sommaire

Littératures d'outre-mer: une ou des écritures « créoles » ?

Les Antilles, la Guyane, la Réunion, par exemple, s'interrogent tout naturellement sur le métissage des cultures, et ont en commun la notion de créolité. Pourtant cette communauté ne va pas de soi, car elle existe de fait plutôt qu'elle ne s'élabore comme convergence ; chaque territoire conserve jalousement sa spécificité, et à la vérité personne ne semble souhaiter vraiment le mélange de réalités différentes et originales. Pourtant, il existe indéniablement des points communs, que partagent aussi la Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie, mais encore des pays qui n'ont pas, ou plus, de liens directs avec la métropole française, comme Haïti, qui a fêté en 2004 l'anniversaire de son indépendance, Maurice ou bien des pays d'Afrique, - affinités plus ou moins marquées sur les plans culturel, linguistique ou littéraire avec la France – sans préjuger des relations politiques sur lesquelles il ne nous appartient pas de nous prononcer ici. Dans toutes ces littératures d'expression française, l'idée de métissage est riche de sens. De quelque manière qu'il se décline, et pour commencer, sous la forme peut-être presque nécessaire de l'intertextualité, le métissage pose en littérature des questions spécifiques : génère-t-il des formes d'invention particulière, fruit du mélange des cultures ? Privilégie-t-il certains genres plutôt que d'autres ? Traite-t-il de thèmes particuliers ? Montre-t-il une appropriation originale de la langue française ? Trahit-il la difficulté d'assumer cette situation mixte ou exhibe-t-il la satisfaction de se tenir à une croisée des chemins ou de pouvoir jouer sur plusieurs tableaux ? Ce numéro mettra moins l'accent sur des monographies traitant d'œuvres particulières, qu'il ne tentera de poursuivre une réflexion plus générale engagée sur l'hybridation des genres.

Voir le sommaire

Programme d'agrégation 2006

Voir le sommaire

Le récit au théâtre (1): de l'Antiquité à la modernité

Voir le sommaire

Le récit au théâtre (2): scènes modernes et contemporaines

Voir le sommaire

Doctoriales III

Voir le sommaire

Mythologie de la chauve-souris dans la littérature et dans l’art

Voir le sommaire

Littérature à stéréotypes

Voir le sommaire

Doctoriales IV

Voir le sommaire

Doctoriales V

Voir le sommaire

Programme d'agrégation 2009 et programmes de littérature des concours

Voir le sommaire

Littératures du Pacifique

Voir le sommaire

Edgar Poe et la traduction

Voir le sommaire

« Qu’il parle maintenant ou se taise à jamais… »: Les effets du silence dans le processus de la création (1)

Voir le sommaire

« Qu’il parle maintenant ou se taise à jamais… »: Les effets du silence dans le processus de la création (2)

Voir le sommaire

Arts et Littératures des Mascareignes

En prenant acte du fait que, à part quelques grandes figures diffusées par des éditeurs importants (Malcolm de Chazal, Ananda Devi, Axel Gauvin…) ou distribués sur les scènes populaires (Ziskakan, Daniel Waro…), les arts et les littératures des Mascareignes (Maurice, Rodrigues, Réunion) souffrent en Europe d’un déficit de notoriété, l’axe III, « Littérature et communauté », du CTEL a souhaité réunir dans un numéro de Loxias des contributions permettant un accès raisonné à cette « terra incognita ». Les contributions sont motivées par le souci de présenter des écrivains, des musiciens, des artistes plastiques, des photographes, des cinéastes…, mais aussi des courants ou des tendances, de façon à susciter le désir de les découvrir. On lira ainsi des monographies sur un auteur ou un artiste, une présentation historique sur un mouvement ou la production des revues littéraires de l’île Maurice, un essai sur des questions particulières, comme, entre autres, le rapport à l’histoire, l’interculturalité, les mythes fondateurs, le dépassement des dualismes (local/global, centre/périphérie, national/transnational,…) CTEL, Axe III « Littérature et communauté »

Voir le sommaire

Doctoriales IX

Voir le sommaire

Panaït Istrati, « l’homme qui n’adhère à rien »

Ecrivain, vagabond, bolchévique sincère mais critique sévère du régime soviétique qu’il fut l’un des premiers à dénoncer, Panaït Istrati, auteur roumain d’expression française (1884-1935), a mené sa vie et conçu son œuvre en se conformant aux seuls principes de l’honnêteté morale et intellectuelle, de la générosité, de l’amour de l’homme et de celui de la vérité. Révolté contre toutes les tyrannies, adversaire farouche de toutes les idéologies, il livre dans son œuvre une vision dont la lucidité sans concession et la dimension éthique trouvent un écho dans les préoccupations et les interrogations les plus actuelles. Si bien que, près de quatre-vingts ans après la mort de celui qui se définissait lui-même comme « l’homme qui n’adhère à rien », la relecture de ses ouvrages offre un vaste champ à la réflexion et à l’investigation critiques. Que l’on s’attache en effet à sa vision humaniste des rapports sociaux et politiques, à sa conception de la vérité, proche de celle développée par Hannah Arendt, ou encore à son sens de la justice, l’étude de ses textes où autobiographie et fiction narrative se mêlent étroitement, permet de définir les caractéristiques axiologiques d’une démarche historiquement et littérairement originale. Pourtant, cette attention portée aux valeurs défendues ou mises à distance ne doit pas oblitérer la richesse et les particularités de son écriture, ses choix stylistiques, son sens de la narration, les personnages créés pour illustrer concepts et situations. Les voyages en Suisse et en URSS restent des moments-clefs de ces études. A Nice, où a résidé l'auteur, la Bibliothèque Universitaire de l'UFR Lettres, arts et sciences humaines conserve un fonds Istrati (lien).

Voir le sommaire

Romain Gary – La littérature au pluriel

Romain Gary (Emile Ajar ? Fosco Sinibaldi ? René Deville ? Shatan Bogat ?) est né le 8 mai 1914 à Moscou (Vilnius ?). Il semblerait alors que l’on puisse célébrer le centenaire de son anniversaire en 2014. Mais sait-on jamais ? La difficulté de déterminer ne seraient-ce que les données de base de cet écrivain prolifique est à l’image de son œuvre que la critique littéraire qualifie, unanimement, d’inqualifiable, diverse, protéiforme. S’il y a à peine vingt ans encore, l’œuvre de Romain Gary était largement boudée par la critique, elle a depuis donné lieu à d’innombrables travaux en France, mais tout particulièrement à l’étranger. En raison de sa diversité, l’œuvre de Gary se prête particulièrement à l’expérimentation d’approches théoriques diverses. Ce numéro spécial de la revue en ligne, Loxias 44, vise un double objectif : faire un bilan des recherches effectuées ces dernières années en France et à l’étranger, tout en les inscrivant dans le cadre théorique qui est celui de l’axe III du CTEL Littérature et communauté.

Voir le sommaire

Stevenson et la culture polynésienne

C’est dans le Pacifique que Robert Louis Stevenson passa les six dernières années et demie de sa vie (1888-1894). Il s’adonna à l’observation participative des îles, des Marquises – premier archipel accosté – aux Samoa – où il repose. S’inscrivant en faux contre le concept d’impact fatal qui prévalait à l’époque, Stevenson célébra la résilience de la culture polynésienne. Des œuvres telles que Dans les Mers du Sud, Ceux de Falesá, Le Creux de la Vague, les contes, légendes, fables et poèmes, Les Pleurs de Laupepa, les articles du Times, témoignent de son engagement pour la culture polynésienne. A leur tour, les écrivains du Pacifique se sont exprimés sur la place de l’écrivain écossais dans leur propre culture. Stevenson and Polynesian culture Robert Louis Stevenson spent the last six and a half years of his life in the Pacific (1888-1894). He was a keen participant observer of the islands – from his first Pacific landfall in the Marquesas to his last residency in Samoa, where he lies buried. Against the prevailing fatal impact argument of the time, he encouraged and celebrated the resilience of Polynesian culture. Such works as In the South Seas, South Sea Tales, A Footnote to History, the Times articles, his Pacific legends, fables and poems, testify to Stevenson’s commitment to Pacific culture. In their turn, Pacific writers have written or commented upon Scottish Stevenson’s place in their own culture.

Voir le sommaire

(Re)lectures écocritiques : l’histoire littéraire européenne à l’épreuve de la question environnementale

Voir le sommaire

Littérature et communauté III

Voir le sommaire

Éloge des ‘Peuples premiers’ en Amérique

Les relations de voyage font une large place aux descriptions des peuples devenus, après l’erreur de Christophe Colomb et les dénominations des géographes de la Renaissance, les « Amérindiens ». Le point de vue le plus fréquent dans la littérature classique européenne est celui des Européens qui rendent compte de cette rencontre : les voyageurs eux-mêmes, découvreurs ou voyageurs plus tardifs comme Léry, Staden, Lafitau, La Hontan, Volney ou Chateaubriand, en rendent compte. Même si penseurs et philosophes (comme Montaigne) n’ont pas eux-mêmes fait la traversée, les nations indiennes ont souvent fait l’objet de relations ethnographiques élogieuses, ou des essais anthropologiques ou politiques faisant de leurs valeurs un exemple – souvent paradoxal en fonction de l’époque à laquelle ces textes ont été écrits. Par la suite, la voix des peuples premiers a été elle aussi entendue ou reconstituée par les autochtones eux-mêmes. On s’intéressera à la littérature se réclamant de ces cultures, par des écrivains comme Pésémapéo Bordeleau, Scott Momaday, Boyden, James Welch, Leslie Silko, Sherman Alexie et d’autres, pour l’Amérique du Nord, mais aussi les écrivains andins ou « indigènes » pour l’Amérique centrale et du Sud, ou les Antilles. Certaines études portent soit sur l’image véhiculée de ces Indiens par la littérature, y compris la littérature de voyage, soit sur le message politique qu’on leur prête. En effet se profile aussi la figure de certains personnages, de chefs par exemple, réputés pour leur sagesse, et entourés d’une légende : Anacaona en Haïti, Geronimo ou Cochise, en Amérique du Nord…

Voir le sommaire

Doctoriales XIV

Voir le sommaire

Autour du programme des concours 2018

Agrégations de Lettres modernes, Lettres classiques, anglais, concours des CPGE... Voilà le point de départ de ce numéro de Loxias, qui se veut une constellation de réflexions autour des textes et auteurs des programmes, sous des formes variées. Par exemple, Au coeur des ténèbres de Conrad, à la fois au programme de littérature comparée et dans le programme 'L'aventure' des CPGE, est abordé par Mohamed Semlali, qui le rapproche de Céline et de Gide, et par Françoise Salvan-Renucci, qui en étudie les références dans l'oeuvre poétique d'Hubert Félix Thiéfaine. Trois articles sur Bouvier, un article sur Chénier, et deux sur le Contre Timarque, ainsi que des contributions sur Char et Darwich seront tout particulièrement proposés aux agrégatifs de Lettres. Whitman et ses Leaves of Grass ne sont pas oubliés. Le numéro se constituera au fur et à mesure, comme un séminaire. Reconnectez-vous!

Voir le sommaire

Doctoriales XV

Un panorama de la littérature étudiée par les doctorants: rien qu'un petit tour du monde, France, Japon, Grèce, Iran, Amérique, Mayotte... En route!

Voir le sommaire

Autour des programmes d'agrégation 2020

Ce numéro s'intéresse aux programmes de l'agrégation 2020, particulièrement, cette année, en Lettres et Anglais. Au programme de "civilisation" de l'agrégation d'anglais (2019-2021) figurent les Journaux de Cook. Consulter aussi sur cette question le n° 49 de l'Astrolabe (revue en ligne du CRLV), co-dirigé par Emmanuelle Peraldo (Université Côte d'Azur, CTEL): Captain Cook after 250 years: Re-exploring The Voyages of James Cook (avril 2020). La prestigieuse Hakluyt Society, la SELVA (Société d’Etude de la Littérature de Voyage du monde Anglophone), les laboratoires HDEA (Histoire et Dynamique des Espaces Anglophones, EA 4086) et VALE (Voix Anglophones: Littérature et Esthétique, EA 4085) Sorbonne Université; le LARCA (Laboratoire de Recherches sur les Cultures Anglophones, UMR 8225, CNRS) Université de Paris, CTEL à l'Université Côte d'Azur, l'IUF, et les membres du Comité scientifique : Jim Bennett (Président de la Hakluyt Society), Anne-Florence Quaireau (Sorbonne Université), Will Slauter (Université de Paris, IUF). Y ont participé les directrices de ce n° de Loxias: Sandhya Patel et Odile Gannier.

Voir le sommaire

POEtiques : influence littéraire et poétique des genres

Voir le sommaire

Génération Beauvoir

Avec constance, envers et contre tout, la génération des femmes nées dans le premier tiers du siècle a été à l’origine d’une véritable floraison intellectuelle dans tous les domaines. L’après-guerre connaît une production littéraire féminine jusque-là sans exemple, à l’image de Simone de Beauvoir, née en 1907. Si Beauvoir est aujourd’hui surtout connue pour le Deuxième Sexe – qui suscite actuellement une résurgence d’études parce qu’elle a révolutionné le panorama intellectuel de l’époque vis-à-vis de la condition féminine et de la place des femmes dans la société et les arts –, elle n’est ni la seule ni la première à écrire : selon Sylvie Chaperon, « la toute jeune génération néo-féministe s’est nourrie de sa lecture faisant d’elle “le mouvement d’avant le mouvement”, l’explication de cette littérature est à rechercher plus en amont. La percée significative des femmes et de leurs questionnements dans le champ du savoir est à mettre en rapport avec l’évolution de l’enseignement. » Les femmes de cette génération sont aussi devenues, entre autres, journalistes, avocates, enseignantes, éditrices, écrivaines, artistes, et ont créé ainsi la place nécessaire à la reconnaissance de cette expression féminine. Cependant, si l’on s’en tient aux œuvres de fiction publiées à cette époque par des romancières, peut-on y voir une veine spécifique, marquée au coin de l’émancipation militante ? Dans les romans de Françoise Sagan (1935-2004) comme Bonjour tristesse ou dans les œuvres de Christiane Rochefort (1917-1998), Christine Arnothy (1930-2015), Claire Etcherelli (1934-), Benoîte Groult (1920-2016), par exemple, peut-on lire l’expression ou l’écho de revendications féministes précises ou simplement la possibilité, pour une génération de femmes, d’accéder à l’écriture, à l’édition et aux prix littéraires ? Violette Leduc (1907-1972), Gisèle Halimi (1927-), Hélène Cixous (1937-), Annie Ernaux (1940-), Pierrettte Fleutiaux (1941-2019), par exemple, ont-elles en commun d’avoir publié à peu près dans les mêmes années ou partagent-elles la force d’une génération solidaire et cohérente ? On peut se demander, dans l’œuvre de chacune de ces écrivaines, comment fonctionnent les fictions par rapport aux essais – si les nouvelles de La Femme rompue de Simone de Beauvoir, en 1967, sont de la même veine que son essai ; si le roman Les Vaisseaux du cœur de Benoîte Groult est de la même encre que Ainsi soit-elle – et comment ils ont été reçus à l’époque. Leurs romans, pour être « féminins » sont-ils nécessairement « féministes » ? Sont-ils inscrits dans un contexte général de libération des femmes ou marqués par les combats de leurs autrices ? Peuvent-ils, dans certains cas, rester assez conventionnels pour sembler même aller jusqu’à contredire les positions défendues par les écrivaines elles-mêmes ? Ce numéro se situe dans le cadre du projet IDEX d’Université Côte d’Azur UCAJedi « ExFem » « Cent ans d’Expressions Féminines : 1918-1968-2018 ».

Voir le sommaire

Doctoriales XVII

Voir le sommaire

Autour du programme d'agrégation 2021

Ce numéro s'est s'enrichi de contributions ultérieures, avec l'organisation de "journées d'agrégation" fin février 2021. Christian Bouchet, Isabelle David, Jean-Pierre de Giorgio, Jean-Claude Mühlethaler, Marie-Claire Thomine, Delphine Reguig, Jean-Christophe Igalens, Pascale Auraix-Jonchière, Melina Balcazar, ont apporté leur contribution sur les auteurs et les oeuvres dont ils ou elles sont spécialistes, par des conférences et/ou des articles sur le programme de l'agrégation de Lettres clasiques et modernes 2021.

Voir le sommaire

Autour des programmes d'agrégation et concours 2022

Le numéro a été constitué en lien avec le cycle de conférences données à l'Université Côte d'Azur.

Voir le sommaire

Orwell dans le domaine public : retour à l’œuvre

L’œuvre de George Orwell vient de passer officiellement du point de vue légal dans le domaine public, 70 ans après la mort d’Eric Blair, décédé le 21 janvier 1950. Le monde entier connaît Orwell pour la création du personnage de « Big Brother » et le système politique qu’il a imaginé en 1949, 1984 – anticipation dystopique nourrie de son actualité ou de son passé récent. De plus en plus souvent se généralise l’usage (dans la vie publique, journalistique, politique…) de références à « Big Brother », à sa surveillance continuelle par les écrans, à la réécriture de l’histoire, à la création manipulatrice de boucs-émissaires… Mais tout se passe comme si ces images d’un monde « orwellien », non seulement réduisaient l’œuvre d’Orwell à un seul livre, mais circulaient même désormais indépendamment de ce dernier, favorisant toutes sortes de réappropriations, plus ou moins fondées, de l’œuvre et de son auteur.... Nous voudrions que l’entrée de l’œuvre d’Orwell dans le domaine public, qui a justifié en France une pléthore de rééditions, de nouvelles traductions et d’adaptations en bande dessinée de 1984 mais aussi d’autres livres, soit l’occasion d’un retour aux écrits de l’auteur dans leur richesse et leur diversité, moyennant un parti pris inverse de recontextualisation. L’enjeu est à la fois de prendre la mesure des différentes pratiques d’écriture d’Orwell et de saisir la cohérence du projet littéraire revendiqué « de faire de l’écriture politique un art à part entière » (« Why I write », 1946).

Voir le sommaire

Femmes et nourriture

Voir le sommaire

Doctoriales XIX

Voir le sommaire

Autour des programmes d'agrégation 2023

Voir le sommaire

Le 100e numéro de Loxias!

Entre Loxias et Loxias-colloques, le CTELA a désormais 100 numéros en ligne! Bonne lecture.

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 15

Littérature française

Voir le sommaire

Littérature comparée

Voir le sommaire

Travaux et publications

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 31.

Agrégation de Lettres et d'Anglais, CPGE Lettres

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 31. | I.

Montaigne: livre I des Essais

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 32

Le sceau rompu du silence

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 37.

Arts et littératures des Mascareignes

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 40.

Panaït Istrati, « l’homme qui n’adhère à rien »

Voir le sommaire

Loxias | Loxias 41

Le fragment en question

Voir le sommaire

Travaux et publications

Voir le sommaire

Loxias | 48.

Stevenson et la culture polynésienne

Voir le sommaire

Loxias | 51

Autour des programmes de l'agrégation de Lettres 2016

Voir le sommaire

Loxias | 52.

(Re)lectures écocritiques : l’histoire littéraire européenne à l’épreuve de la question environnementale

Voir le sommaire

Loxias | 67. | I.

Agrégation d'anglais

Dans le programme de "civilisation" figurent les Journaux de Cook. Consulter aussi le n° 49 de l'Astrolabe (revue en ligne du CRLV), co-dirigé par Emmanuelle Peraldo (Université Côte d'Azur, CTEL): Captain Cook after 250 years: Re-exploring The Voyages of James Cook (Avril 2020) Captain Cook after 250 years: Re-exploring The Voyages of James Cook (Avril 2020) The Hakluyt Society, the SELVA (Society for the Study of Anglophone Travel Literature), HDEA (Histoire et Dynamique des Espaces Anglophones, EA 4086) and VALE (Voix Anglophones: Littérature et Esthétique, EA 4085) research centres at Sorbonne Université, LARCA (Laboratoire de Recherches sur les Cultures Anglophones, UMR 8225, CNRS) at the University of Paris, CTEL (Centre Transdisciplinaire d'Epistémologie de la Littérature et des Arts Vivants) at the Université Côte d'Azur, the IUF (Institut Universitaire de France), and the members of the scientific committee : Jim Bennett (President of the Hakluyt Society), Anne-Florence Quaireau (Sorbonne Université), Will Slauter (Université de Paris, IUF). Ont participé à ce n° les directrices de cette section: Sandhya Patel et Odile Gannier.

Voir le sommaire

Loxias | 69.

Génération Beauvoir

Voir le sommaire

Loxias | 75.

Autour des programmes 2022

Voir le sommaire

Loxias | 76.

Orwell dans le domaine public : retour à l’œuvre

Voir le sommaire

Loxias | 79.

Autour des programmes d'agrégation 2023

Voir le sommaire